Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 24 septembre 2011

Livre d'or - Fanny

« L’Inde, je l’ai connu un peu. Lors de trois voyages. Elle est repoussante et attirante. Elle reste un mystère. Une vague de magie berce ce pays. Les Ganesh dans la rue, les mendiants qui vous harcèlent, les chauffeurs de rickshaws qui vous arnaquent, les bidonvilles en bas de grands édifices, les enfants qui vous sourient et qui vous touchent comme si vous étiez une vedette. J’ai connu ce pays sous sa forme la plus pure à travers des villages et la douceur de ses habitants emplis d’une bonté à coupée le souffle, et sous sa forme la plus monstrueuse dans sa capitale économique où tout n’est que contraste. Ce pays est le miroir de l’Homme, il y a le pire comme le meilleur. »

 

Fanny M., 12/09/2011, Voyage en août 2001 (Rajasthan), volontariat en 2008 (Pune), stage de 4 mois en 2010 (Mumbai)

jeudi, 22 septembre 2011

Histoire de draps

Ai-je déjà parlé des draps ??

 

Quelle n’a pas été ma surprise la première fois que j’ai acheté des draps en Inde de découvrir que les drap-housse n’existent pas… Mais alors ?? Mais on fait comment ??

On fait comme tout le monde et on cale le drap sous le matelas. Ca se barre tout le temps mais c’est pas grave.

Un quidam qui m’entendait ronchonner m’a alors suggéré de me faire faire un drap-housse. Ah la brillante idée !! Aussitôt dit aussitôt fait. J’ai acheté un drap et filé chez le tailleur – auquel j’ai expliqué tant bien que mal le concept du drap housse.

Trois jours plus tard j’ai récupéré mon drap housse, super contente !!

Sauf que voilà, en arrivant à la maison, j’ai déplié le drap et même si je suis pas physicienne, l’ouverture ne faisant qu’un mètre de diamètre, je n’allais pas pouvoir le passer autour du lit deux-places.

Par acquis de conscience, j’ai quand même essayé. Je n’ai même pas réussi à le détendre assez pour passer un côté !!

J’ai donc appelé le tailleur. Qui m’a sorti quelque chose comme « mais vous êtes sûre ? faut tirer hein, c’est élastique. » Le tailleur qui me prend pour une débile !! Et qui a fini par agrandir l’élastique. Et ça a marché !!

Je n’ai pas recommencé et fonctionne désormais avec des draps normaux. C’est ça la force d’adaptation !!

 

Un jour, je parlerai des matelas…

mardi, 20 septembre 2011

Livre d'or - Guillaume

« L’Inde, c’est un peu l’archétype de l’endroit où tu arrives en cherchant quelque chose, et tu repars avec rien, ou avec autre chose. Moi, je suis venu voir ma cousine (bon et quelques oiseaux aussi, hein, on va pas se cacher) et je suis reparti avec la sensation de n’avoir vraiment fait qu’effleurer un monde définitivement hors d’atteinte. 

inde,guillaume,delhi,dharmasala,uttarakhand,rajasthan

 

 

L’Inde, en tous cas ses villes, a pour moi grand sentiment d’arbitraire face à des constructions anarchiques, ici super design trendy, là immeubles en ruine avant d’avoir été finis… et du monde partout, qui dodeline de la tête en semblant te dire que tu es un peu perdu, alors que non, je cherche juste le bus pour, (check LP), pour Daramsala, avec un H dedans mais je sais jamais où, ou bien pour Udaipur si vraiment tu me garantis qu’il neige là-haut.

inde,guillaume,delhi,dharmasala,uttarakhand,rajasthan


 

L’hiver dans l’Uttarakhand, c’est l’hiver.

Il faudra un jour que je revienne pendant la mousson, pour l’outarde passarage :

inde,guillaume,delhi,dharmasala,uttarakhand,rajasthan


 

Le lophophore resplendissant :

inde,guillaume,delhi,dharmasala,uttarakhand,rajasthan


 

Et pour voir ça aussi :

inde,guillaume,delhi,dharmasala,uttarakhand,rajasthan


 

Car j’aime la pluie »

 

Guillaume P., 12/09/2011, Voyage en février 2007 (Delhi, Dharmasala, Uttarakhand, Rajasthan)