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lundi, 08 décembre 2008

Quand Posh fait la couv de Vogue India en sari...

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dimanche, 07 décembre 2008

Livres sur l'Inde d'avant - Visions de femmes

Si vous êtes en manque de livres sur l’Inde, 2 idées originales : des écrits de femmes sur l’Inde.

 

La touriste originale :

Maria Graham est arrivée en Inde en 1808, suivant son père, officier de la marine anglaise posté à Bombay. Elle avait alors 23 ans.

Son premier livre, Journal of a residence in India (Journal d’une résidence en Inde), raconte les 3 ans qu’elle a passés ici.

Elle y parle notamment de sa visite au harem de « Shahab o’dien » : « Nous descendîmes dans l’appartement des femmes avec une échelle, qui fut enlevée immédiatement après usage, pour empêcher les femmes de s’échapper, et nous fumes reçues par la belle-mère, complètement tarée. La mère de Shahab o’dien, et le reste des veuves du père furent d’abord présentées, puis sa femme, Fatima… Elles se rassemblèrent toutes autour de nous pour examiner nos robes… Je ne fus pas gênée qu’elles expriment leur curiosité si ouvertement, puisque ça nous donna une meilleure opportunité de satisfaire la notre… » […]

 

Les livres de Graham sont importants parce qu’ils « donnent une vue plus privée des évènements et activités que des livres publiés peuvent le faire. Ils offrent une vue de l’intérieur des relations entre différents groupes de gens, à la fois Britanniques et Indiens. »

 

Celle qui embrassait et décrivait le « Karma Cool » :

En 1937, l’écrivain voyageuse Suisse Ella Maillart a écrit sur l’Inde dans Forbidden Journey – From Peking to Cashmir (Voyage Interdit – de Pékin au Cachemir) et The Cruel Way (voyage de Genève à l’Inde en passant par la Perse).

Elle raconte l’Inde des gourous et des ahsrams.

 

Source: Article_TOI_The woman tourist_271008.pdf

samedi, 06 décembre 2008

Hommage à ma pote

Hommage à ma pote Deepi, une jeune dentiste du Punjab, Sikh de religion.

 

Lorsque je l’ai rencontrée, elle était amoureuse d’un bong (un Chrétien du Bengale) qu’elle fréquentait depuis 5 ans, vivant une relation plutôt libre, loin de chez elle, à Pune. Envisageant le mariage, elle s’est ouverte sur sa relation à sa mère qui lui a dit… « pas moyen ma chérie ».

« Et puisque c’est comme ça, tu reviens à la maison en décembre, le temps de te trouver un ptit mari. »

Obéissante, respectueuse des traditions et de sa famille, Deepi ne s’est pas enfuie avec son bong. Non. Elle l’a quitté.

Et s’est maquée avec un Kashmiri musulman. (Si ses parents apprennent ça, un Musulman après un Chrétien, ils vont avoir une attaque cardiaque!)

 

Il lui reste un mois pour, dixit elle-même, « profiter de sa liberté » (traduction : picoler, fumer et câliner son copain en public). Et ses parents « ont intérêt à lui trouver un bon mari ».

 

Ceci n'est pas une critique ni même sarcastique mais bien un hommage parce que même si elle a l’air de s’éclater, elle fait quelques sacrifices qui ont l’air d’avoir un peu de mal à passer…