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lundi, 24 novembre 2008

Memsahib, "Femmes d'expat"

Un article intéressant ce matin: It’s not all fun to be a memsahib – “memsahib” étant le titre local pour “femme blanche”.

Je traduis juste quelques passages d’articles, pas de commentaires perso sur les « femmes d’expat », particulièrement en Inde, vu que je n’en suis pas une, et je n’en fréquente pas vraiment. Même si quelques blogs sont marrants, notamment dans les activités qu’elles sont obligées de se trouver…

 

Pour celles qui sont concernées (et pour tous ceux qui s'expatrient en famille), un site vraiment bien fait : Femme Expat : http://www.femmexpat.com/lesarticles.php3?id_rubrique=5&id_article=582  

 

Et l’article, en substance, donne ça :

Dans beaucoup de cas, le sentiment d’insatisfaction des expatriés se solde par un échec de la relocalisation. D’après une Etude des Tendances de la Relocalisation Internationale, menée par  Windham International et la Society for Human Resource Management Global Forum en 2008, 96% des répondants ont identifié la satisfaction du partenaire comme une composante majeure de la réussite ou de l’échec du transfert.

Par ailleurs, pour 62% des entreprises, l’intérêt pour la carrière de l’épouse est la raison la plus fréquente de refus d’une mission à l’international.

L’Inde tiendrait la 4ème place mondiale d’échec de relocalisation – la Chine étant en tête, suivie par le Royaume Uni et les Etats-Unis. En 2006, l’Inde était 5ème.

 

Le problème c’est que le visa des épouses ne leur donne pas l’autorisation de travailler ; seuls les pays suivants accordent automatiquement un visa de travail aux femmes d’expatriés : l’Argentine, l’Australie, la Belgique, le Canada et la Finlande.

Mais l’interruption de carrière n’est pas le seul facteur de démoralisation des « femmes d’expat », il y a aussi les conditions de vie et la culture.

La plupart des épouses compensent leur inactivité professionnelle par du bénévolat : « travailler pour des projets de charité vous maintient occupé et vous donne un sentiment de gratification ». D’autres reprennent des études (online) avec des universités de leur pays d’origine.

 

Source : http://timesofindia.indiatimes.com/articleshow/msid-3746190,prtpage-1.cms