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Rechercher : cinq coins du monde

La Presse / Tata et la moins chère voiture du monde

Heureusement, dans la presse il y a aussi des sujets sérieux...

a2b991199f6e33e4a4c9af771daf5618.jpgA part ça, Tata (premier constructeur automobile indien avant que vous ne commenciez à vous marrer) vient de lancer la voiture la moins chère du monde : 1 750 (hors taxe).  Et paraît qu’elle serait pas trop polluante. Y a plus qu’à prier pour que les bouchons n’empirent pas. Article_Times of India_Tata & Nano_110108.pdf

Article_Le Monde_Tata & Nano_110108.pdf

Article_Times of India_Tata & Nano_110108.pdf

 Et puis, en Angleterre, deux jumeaux séparés à la naissance, se sont rencontrés, aimés et mariés avant d'apprendre leur lien de parenté!! Arundhati Roy n'est pas si loin de la réalité dans son roman Le Dieu des petits riens...

 

Enfin, les Danois sont vraiment trop forts : un reality show avec des bébés : des couples amoureux se voient affligés d’un rejeton pendant plusieurs semaines pour voir comment que c’est dur. C’est important de le montrer à la télé !! Article_Times of India_Reality Show_110108.pdf

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samedi, 12 janvier 2008 | Lien permanent

Dans un monde d'hommes...

Je suis tombée par hasard sur cette série internet indienne et j'ai adoré !!

En Occident, on parle beaucoup (surtout depuis 2013) de la situation de la femme en Inde et de l'insécurité, du viol, du harcèlement etc. ; et voilà comment des Indiens s'attaquent au problème en éduquant de manière divertissante - chacun apporte sa pierre à l'édifice... Et c'est ainsi que j'ai réalisé à quel point l'Inde est un monde d'hommes... (on oublie, on s'habitue, on ne tilte même plus quand c'est un homme qui nous fait la pédicure, c'est dire!)

C'est l'histoire d'un Indien qui croit que le monde est injuste envers les hommes et que les femmes exagèrent leur situation et qui tout à coup se retrouve plongé dans un monde où les rôles femmes / hommes sont inversés (épisode 1). Ensuite il vit le coup de la promotion au bureau (épisode 2) puis se fait poursuivre dans la rue et cherche la protection de la police (épisode 3) avant de se marier et découvrir les plaisirs de la vie de "femme au foyer" (épisode 4).

N'oublie pas de mettre les sous-titres (en anglais au moins) - en bas à droite:

 

 

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lundi, 09 novembre 2015 | Lien permanent

Bandati, petit métis: le livre est disponible partout dans le monde!!

Pour tout renseignement en français sur le livre Bandati, petit métis (synopsis, extrait, liens pour l'acheter), c'est par ici!

Et pour la version anglaise de Bandati, c'est par :)

N'hésite pas à l'acheter, le recommander, le commenter etc.! Et sois indulgent, hein, c'est une grande première pour moi ;)

Merci

Bandati_Cover FR V4.jpg

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mardi, 08 juin 2021 | Lien permanent

C'est ptêt pas les plus sportifs du monde mais...

... les Indiens ont quand même un marathon sur les toits du monde !

(Ils prétendent que c'est le plus haut du monde mais il semblerait, d'après le Guiness des Records que ce soit le marathon de l'Everest le plus haut). C'est quand même balèse, avec une course à 5370m.

Et pour ceux qui préfèrent les voitures... (course Red Bull au Ladakh en 2012):

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lundi, 12 septembre 2016 | Lien permanent

S'aimer en Inde - Interview de la Radio des français dans le monde

Un grand merci à Gauthier et à la radio des français dans le monde pour leur intérêt pour le profil d'Emilie Anand (et son livre !) : lien

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vendredi, 01 mars 2024 | Lien permanent

Pour se rappeler que tout le monde n'a pas l'eau courante sur la planète...

Je n'ai pas encore bien compris comment ça marche l'eau à Delhi.

Par exemple y a beaucoup de coupures. En fait y a même un énorme problème dans certaines zones.
Dans mon entrepôt par exemple, il y a un type qui vient remplir les tanks deux fois par semaines.
Chez moi je ne sais pas comment ça marche exactement. Il y a des tanks sur le toit et quand ils sont vides, quelqu’un active une pompe qui les remplit. Si le quelqu’un en question n’est pas là, pas d’pompe donc pas d’eau !!
 

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samedi, 28 juillet 2012 | Lien permanent | Commentaires (1)

Escapade kéralaise…

Pour un bon bol d’air – et y en a besoin quand tu vis à Mumbai (voir cet article sur la pollution en Inde) – rien de tel que le Kerala ! Tant qu’à prendre l’avion, autant aller là où c’est vraiment beau et dépaysant. Et autant prendre l’avion vu que sortir de Mumbai prend au moins une heure et demi et c’est juste l’angoisse cette route et ces bouchons.  

Bref, à une heure et demie de vol de Mumbai, il y a Calicut/Kozhikode (le nouveau nom), desservie par deux vols directs quotidiens. Et c’est la porte d’entrée à la région de Wayanad, à quelques trois heures de route de l’aéroport – oui, l’escapade indienne se mérite ! Et se planifie, vu les temps de déplacement.  

 

Moins connu que les backwaters les plantations de thé de Munnar, les éléphants sauvages de Thekkady, Wayanad est tout aussi verdoyant et moins touristique…

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Wayanad, c’est aussi un gros district pour l’ayurveda. Un cadre idyllique pour une petite cure ! Comme mes parents ont tenté l’expérience, le choix de l’hôtel pour le week-end que nous passerions ensemble était assez critique : il nous fallait quelque chose de joli mais un truc sans trop de monde. Wayanad est ‘connue’ pour ses ‘tree-houses’. Nous en avions sélectionné deux : Tranquil Resort et Marmalada Springs.   

Et finalement nous avons opté pour Grassroots : des tentes de luxe dans une nature à couper le souffle. Et moitié prix des autres hôtels. Et nous n’avons pas regretté !! Seulement 5 tentes, une grande table conviviale dans la salle à manger, le staff très sympa et une vue de ouf !! Le seul bémol c’est que qui dit tente dit imperméabilité au son approximative. On se sent tout de suite moins seul avec l’imam* et ses cinq prières quotidiennes, le vendeur de poisson matinal, le staff qui écoute de la techno, le voisin qui met la télé et le bébé qui chiale (le mien en l’occurrence ;-) ).

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* Y a beaucoup de Musulmans dans le Nord du Kerala – 2 millions à Wayanad, et 79 millions dans tout le Kerala (ils représentent 25% de la population, contre 13% à l’échelle nationale) (source 1, source 2) D’ailleurs quand tu débarques de l’avion, tu vois tout le monde avec des cartons comme ça :

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 Je pensais au début que c’était des purificateurs d’eau mais en fait non. En enquêtant nous avons réalisé que quasiment tous les passagers venaient du Golfe** et revenaient avec zam-zam, de l’eau de la Mecque. 

 ** Plus d’un quart des foyers au Kerala ont un travailleur émigré ; et ça monte aux trois-quarts pour les foyers musulmans ! D’ailleurs 10% de la population kéralaise vit en-dehors du Kerala. En 2007, 85% des 3 millions de travailleurs kéralais émigrés venaient du Golf. (source) 

 

Pour conclure, ils mangent des trucs un peu chelous dans le coin (mais pas mauvais) : des fruits marinés avec des chilis dans de l’eau salée :

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lundi, 17 août 2015 | Lien permanent

Livre d'or - Vincent

« Encore un petit tour là-bas loin loin loin de la grisaille parisienne... pour la 7ème fois! Record absolu de la visite indiansamouraienne!

Tout le monde a donc rêvé de cet endroit paradisiaque que sont les îles Andamans, vous avez bien raison. Un petit coin pour le repos, les massages, les ballades sur la plage et dans la jungle, la lecture au moment des pluies de la mousson, la glandouille... et le beach cleanning. Voilà!

Un an de dur travail à Paris pour atteindre cela c'était parfait!

Mais avant de goûter à cela quelques excursions à Delhi (juste à temps avant que mon hôte ne reparte direction Bombay) et à Calcutta (à voir les sacrifices à la chaîne de chèvres dans le temple de kali)... »

Vincent B., 30/12/2012, Voyage :

 en novembre 2012 (Delhi, Kolkata, Andamans)

 

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mardi, 08 janvier 2013 | Lien permanent

Un départ en fanfare…

C’est lundi soir. Je n’ai pas mangé de la journée, trop occupée à “boucler” des trucs au boulot (en fait on ne boucle jamais rien mais passons…). J’ai soigneusement préparé les valises ce week-end – c’est fou ce que ça complique de voyager avec un bébé, à commencer par vérifier que les vêtements d’hiver sont à la bonne taille et à finir par plier le lit-bébé !

Je me retrouve donc à 19h30, Bébé Samourai couché, la nounou dans le train, le mari dans le taxi, à fignoler les derniers préparatifs (notamment les provisions de nourriture). Quand j’entends le bébé appeler. Et je ne l’ai pas plus tôt soulevé qu’il me vomit dessus, profusément. Son premier vomi en 16 mois, nous en sommes tous les deux retournés… Et bouche bée. Impossible de faire un pas sans marcher dedans, j’en suis comme deux ronds de flan. Je le lave, le recouche, lave le sol puis moi-même et me remets à mes bagages. L’appétit coupé. Et puis il remet le couvert. Une petite douche pour le nettoyer, il a l’air d’aller mieux, et moi je suis toujours en sous-vêtements. D’ailleurs je vais prendre une douche avant de m’apprêter pour le départ. Il est 22h. J’en profite pour shampooiner le chat. D’aucuns diront que le moment n’est peut-être pas choisi mais je dois aider la pauvre bête à se débarrasser de son espèce de teigne et je n’ai pas eu d’autre moment !

22h30. Le taxi est en bas. J’attrape Bébé Samourai pour l’habiller et il me recolle une galette dessus. Re-douche. Et nous partons !

C’est reparti dans la voiture, le cauchemar ! Le vol de 8 heures vers l’Europe s’annonce très long…

Et voilà-t-y pas que sur un pont d’autoroute, alors que plein de camions sont garés sur le côté et qu’il y a un sacré ralentissement, deux hommes tapent sur le capot, intiment à mon chauffeur de baisser sa vitre, lui pincent la bouche, l’étranglent avec sa ceinture de sécurité. Pendant que je crie de le laisser tranquille, que mon bébé est malade et que j’ai un avion à prendre, ils m’ignorent superbement et l’éjectent de la voiture et l’embarquent. Et puis plus rien. Au bout de cinq minutes j’appelle mon mari et là j’explose. La panique totale. J’ai en fond d’écran les histoires atroces de collègues d’amis braqués au flingue au péage de Gurgaon – histoires auxquelles je ne prête pas attention mais qui visiblement rentrent par une oreille et ne ressortent pas par l’autre. Et puis merde. Je sors du taxi, couverte de vomi, le bébé dans les bras et me mets à crier sur les chauffeurs de camion de me rendre mon chauffeur. Ils ont pas l’air de comprendre ce qui se passe, genre ils sont pas à partie de ce hold-up !

inde,gurgaon,voyager seule,taxi,péage,jats,manifestationUne voiture s’arrête, puis une autre, et une autre. Un homme dans chaque véhicule. Tous sortent et me demandent « ça va pas Madame ? Qu’est-ce qui se passe ? » Entre un sanglot et un hurlement j’explique que mon chauffeur a été enlevé. Et ils me le retrouvent immédiatement, planqué dans une camionnette juste derrière. Nous repartons, sans un merci pour mon sauvetage héroïque et sans une explication – je n’aurai donc jamais le fin mot de l’histoire. Pourquoi ces camions ? Pourquoi ce bouchon en plein milieu de la nuit ? Pourquoi ces deux hommes en civil qui agressent mon chauffeur ?*

J’arrive au comptoir de la compagnie aérienne, puante et dégoulinante de larmes. Je dois faire peur à voir, surtout au comptoir business. Et là, alors que la situation ne pourrait pas être pire, je ne trouve pas mon passeport. Ah si attends il est là. Et puis voilà-t-y pas que Lufthansa a la bonne heur de surclasser mon mari. Ils pouvaient pas mieux tomber je te jure… Un vol en toute tranquillité avec un bébé endormi presque tout le temps, que demander de mieux ?!

* Il semblerait après coup que les camions étaient garés là pour attendre l’ouverture du péage entre Gurgaon et Delhi à minuit. Et que ce racket est institutionnalisé pour les chauffeurs de taxi qui ne payent pas le péage. Je n’étais donc pas au cœur de la fomentation d’un coup d’Etat ou d’une révolution ou ni même d'une manifestation – les soulèvements sont devenus assez communs dans le coin par les temps qui courent avec les Jats piquant des colères régulièrement (cf cet article du Monde). Pfff... J'ai crisé pour rien !

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lundi, 02 mai 2016 | Lien permanent | Commentaires (1)

Et si j'achetais une maison à Goa ? – Part 6

Sur l’île de Chorao, une vieille bâtisse entourée de manguiers était en vente à un prix raisonnable. Mais la banque mit trop de temps à nous donner le prêt.

Dans la foulée, nous avons continué à regarder dans ce coin de Goa. Je me suis enthousiasmée pour un grand terrain avec un manguier en plein milieu. A réception des plans, j’ai réalisé que ma notion des distances était catastrophique et que la zone allouée ne représentait qu’un tiers du terrain, et tout en longueur.

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Nous avons alors délaissé cette île, après un nombre incalculable de traversées de ferry. Trop éloigné de tout, trop susceptible d’être bientôt recouvert par les eaux. Et nous avons redirigé notre énergie vers le sud, plus près des belles plages. Je me suis emballée pour un terrain près d’une rizière. Mais une hypothèque vieille de soixante ans nous a refroidis, d’autant que le testament du prêtre préteur ne mentionnait pas qu’elle ait été acquittée.

Un terrain encore plus sympa nous fit alors de l’œil. Un peu grand pour nous mais que diable ! Mais ce projet fut torpillé par la présence du générateur d’un hôtel cinq étoiles dont le ronron était clairement audible. goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement

Nous partîmes alors à la recherche d’un appartement avec vue. Cela nous éviterait les emmerdements pour faire construire – qui s’annonçaient énormes, vu combien il est déjà difficile de trouver un emplacement. Et puis cela nous assurerait de la compagnie pour notre fils. Enfin, cela nous permettrait de rentabiliser immédiatement, soit en y habitant soit en louant. Deux appartements mitoyens avec vue à 360° et une ventilation incroyable nous séduisirent – pas besoin d’un jardin quand on voit les rizières et la forêt de partout ! Mais nous n’étions pas prêts à payer plus que 25% du prix du marché…

Un autre appartement aurait pu faire l’affaire, avec une vague vue sur la mer. Refait à neuf, il n’envoyait pas du s rêve mais c’était un bon deal. Sauf que la copropriété n’était pas gérée, la piscine et autres parties communes laissées à l’abandon.

Trouver un appartement qui n’ait pas été construit pour des vacances, avec de petites pièces, de petites salles de bain, une petite cuisine et plus de deux ou trois chambres, se révéla compliqué. goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartement

Je découvris ensuite un autre coin de Goa, entre forêt et montagne. Un coin de paradis, « untouched » comme ils disent. Où tu peux avoir un grand terrain pour pas très cher si tu es ouvert à l’idée d’avoir des léopards pour colocataires. Emballée j’étais ! Et puis je me suis demandée d’où venait ce besoin de posséder ? Ne pouvais-je pas juste venir ici de temps en temps ? Louer une chambre d’hôtel, même chère, serait bien plus simple. Je donnai quand même la mission à notre agent immobilier, qui nous trouva six mille mètres carrés tellement beaux qu’on aurait pu passer outre le sanglier énervé qui nous reçut. Le prix au mètre carré était abordable, mais ça revenait cher pour tout le terrain, qui était en plus indivisible. Et puis comment s’occuper de tant de végétation ? Une mousson et c’est Indiana Jones dans cette région tropicale… 

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J’abandonnai alors l’idée d’acheter un bien immobilier à Goa… Sur ce, un des nombreux agents avec lesquels j’étais désormais en contact nous proposa une maison d’architecte avec vue sur rizière et à cinq minutes à pied de la mer. Je la visitai seule pendant que mon fils et son amie s’ébattaient dans la petite piscine. Ce fut la première maison visitée à me faire fondre, un peu petite mais avec de très beaux parquets en bois récupérés de vieilles baraques du sud. Mais comme tous les acheteurs potentiels depuis deux ans qu’elle était en vente, nous ne n’étions pas prêts à payer un prix largement déconnant. goa,maison,maisonportugaise,portohouse,heritage,acheter,immobilier,appartementChacun sa définition d'une vue sympa...

Deux semaines plus tard, je tentai le coup avec une nouvelle annonce sur la marketplace de Facebook et nous visitâmes une belle ruine, sur un terrain de taille respectable, proche de la mer. Avant que nous puissions récupérer les papiers et faire une offre, le propriétaire se mit à faire des siennes, arguant qu’un autre acheteur était soudainement sur le coup. Il n’était pas question que nous nous battions.

Il nous sembla alors pertinent de regarder davantage dans le nord, là où nous vivions pour le moment, et vraisemblablement pour quelques temps. Et il reste de beaux villages un peu préservés, même si loin de la mer et des belles plages du sud. Une superbe maison à un prix abordable nous tenta – nous tente encore – mais son accès est sinueux, pas d’enfants vivent dans ce petit complexe de six habitations, et nous ne savons pas quelle est la distance à l’école que notre fils devra rejoindre dans un an.

Bref, nous restons en location !

À suivre (ou pas)…

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Une annonce sur la marketplace de Facebook au milieu des annonces immobilières...

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lundi, 04 décembre 2023 | Lien permanent

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