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lundi, 07 mars 2011

Allez, bon appétit…

Les castes, on en parle beaucoup mais en fin de compte on n’y connaît rien.

 

C’est comme ça que j’ai découvert (via le Courrier International: INDE • Les mains souillées des sous-castes _ Courrier international - 10.02.2011.pdf) cette charmante sous-caste de ramasseur de merde à mains nues. Leur job : aller chez les gens, ramasser leurs défécations et les transporter sur la tête (des fois ça dégouline).

Cette pratique a été interdite par la loi mais certaines personnes continue de le faire de leur plein gré, notamment pour éviter les « moqueries » de ceux qui chient.

 

Après tout, si on se replonge dans le Moyen-âge en France, ce n’est pas si répugnant. On n’a abandonné le pot de chambre qu’au début du 20ème siècle après tout…

 

« Imaginez Paris sans canalisations. On fait tout dans la rue. Les arbres, perpétuellement arrosés, périssent tous. Un noble est obligé se faire porter par ses laquais, s'il ne veut pas marcher dans le caca. On vide les pots de chambre par les fenêtres, même un roi a reçu le contenu sur la tête. Des villes s'échape l'odeur pestinentielle qui s'étend à une dizaine de km. Avant de devenir objet d'interdits imposés par l'hypocrite morale bourgeoise du 19e siècle, les "besoins naturels" pouvaient se satisfaire sans honte ni fausse pudeur. Un visiteur pressé pouvait se soulager dans la cheminée, sous le regard bienveillant d'autres convives.

Avec l'avènement des bourgeois conquérants, il faut se retenir en permanence le corps doit être contrôlé et enserré dans des règles "rationnelles". Hygiénistes, urbanistes et architectes s'occupent sérieusement des "commodités", la répression corporelle et par conséquent sexuelle s'en trouve renforcée. »

 

Un très bon site sur les lieux d’aisance : http://www.echolalie.org/wiki/index.php?ListeDeLieuxdAisance !

 

Sources : http://www.echolalie.org/wiki/index.php?ListeDeLieuxdAisance ; http://tnit.fr/book/lieux.htm ; http://www.courrierinternational.com/article/2011/02/10/les-mains-souillees-des-sous-castes

samedi, 05 mars 2011

Bonjour l'atterrissage...

Je parlais des avions en Inde…

Et de l’indiscipline des voyageurs indiens. (Je n’ai pas parlé des divers bruits (voire odeurs) intestinaux ni des odeurs de transpiration et je n’en parlerai pas).

 

Non je voudrais juste parler de l’atterrissage.

En Inde, les roues n’ont pas touché le sol que tout le monde est debout – le personnel de bord ne réagit même plus. Inutile de leur demander à quoi ça sert de se précipiter comme ça, ils le font tous…

Et si vous avez le malheur de vouloir rester assis jusqu’à ce que l’escalier arrive, vous pouvez vous faire écrser (pas loin en tout cas). Et voici une pub qui illustre ça. J’adore l’autodérision !!

 

jeudi, 03 mars 2011

On rigole bien dans l'avion avec les Indiens!

C’est pas beau de se moquer mais c’est juste trop drôle !!

Voici un article avec une compilation des meilleurs commentaires d’Indiens voyageant sur les lignes de Virgin… (http://www.mumbaimirror.com/index.aspx?Page=article&s...)

  •  Un passager pétrifié qui demande au pilote de ralentir.
  •  Ouvrez la fenêtre, j’ai besoin de cracher.
  •  Je veux dormir dans le porte-bagage (comme si c’était une couchette de train).
  •  Où sont les toilettes pour femmes ?
  •  Il n’y a pas de giclette dans les toilettes (communément utilisé en Inde à la place du papier toilettes).
  •  Je peux utiliser votre téléphone (l’espèce d’interphone qui sert à faire les annonces), je dois appeler mon fils ?
  • Où est la salle de jeux pour les enfants ?
  •  Je peux avoir un McDo ?
  •  Vous pouvez éteindre le moteur ? Le bruit m’empêche de dormir.

Allez c’est promis, la prochaine fois je cherche les bourdes des Français qui voyagent.

Enfin je dois admettre que l’Inde est quand-même le seul pays pour lequel Air France a rédigé un manuel spécial pour le personnel de bord (dixit une hôtesse qui me racontait également que personne en voulait faire les vols sur l’Inde et qu’elle arrivait souvent à avoir des places (sur la bourse d’échange d’Air France)). Ca peut s’expliquer par le fait que les Indiens traitent les hôtesses comme des domestiques (pas bien quoi).