Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 03 juin 2024

Les vacances en campervan pour les nuls – Roadtrip en Italie – La genèse du voyage

Quand ça veut pas, ça veut pas. Ou bien ça veut ? Nos vacances d’été ont été compliquées à planifier cette année, en raison de l’activité professionnelle de mon Indien préféré, qui ouvrait un café en plein milieu du mois de mai. En février, j’avais néanmoins acheté des billets pour la France, échangeables et annulables. Et si je devais partir seule avec mon fils, et bien je saurais m’en accommoder ! L’idée d’aller quelques semaines buller en Normandie au lieu de bouillir en Inde me réjouissait même parfaitement.

image2.jpeg

Normandie

Mi-avril, Petit Samourai entama ses grandes vacances en rentrant en Europe avec son oncle, laissant une dizaine de jours à mon couple pour souffler. Nous en profitâmes à fond, un peu chacun de notre côté. Et puis vint une crise. Perchée sur une colline, inondée de sueur, je cherchai les poteaux entre les ronces délimitant un énième terrain en vente, quand mon Indien préféré me demanda ce que diable je fabriquais. En temps ordinaire, je n’aurais peut-être pas réagi ou même rigolé du ridicule de ma situation, mais là, fatiguée de la chaleur estivale, je le pris mal, très mal. Je passe sur les scènes qui s’ensuivirent et débouchèrent sur une conclusion qui s’imposait : deux nuits en amoureux dans un petit hôtel du sud de Goa, à rencontrer des gens incroyables – des Français glaciers, un couple franco-indien gérant un resto vegan et tamil, un Italien fromager etc. Cette bouffée d’air pas frais du tout nous fit un bien fou et, dans l’euphorie, mon Indien préféré décida de prendre des vacances malgré tout, et nous réservâmes un séjour… en Italie, et… en van ! (Le Portugal en van nous avait trop enchanté ! ici et ici)

Le lendemain, je rejoignais notre fils en France, et dix jours plus tard, nous nous retrouvions tous les trois à Rome, éclatés – une nuit de transport pour l’un, et un vol très matinal pour Petit Samourai et moi-même. Nous sommes tous les deux aux anges, mais les tensions professionnelles et personnelles accumulées ces dernières semaines sont encore palpables chez mon Indien préféré…

Écrire un commentaire