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lundi, 30 juillet 2018

La magie du Nord-Est…

Il y a peu d’Etats que j’aime en Inde comme le Nord-Est… Un de ses charmes étant qu’il est relativement encore ignoré des touristes indiens. Le genre de ceux qui balancent leurs bouteilles parterre dans le village qui fut une fois le plus propre d’Asie. Evidemment, qui dit peu de tourisme dit peu d’infrastructures touristiques. Ce fut donc l’occasion d’un voyage un peu luxe, avec Ri Kynjai à Shillong pour lequel j’ai un énorme coup de cœur, et les merveilles naturelles du Meghalaya. Wild Mahseer dans les plantations de thé d’Assam, de vieux bâtiments coloniaux qui sentent un peu le renfermé et où l’accueil laisse à désirer, mais qui séduit avec ses singes qui jouent dans le jardin. Diphlu Lodge à Kaziranga, qu’on a du mal à quitter pour aller faire les safaris (pour voir les rhinos) et les balades en bateau sur le Brahmapoutre. Un superbe voyage de Diwali 2017 !

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Quelques photos ici: https://photos.app.goo.gl/ZVo8628nLVCPA2HJA

lundi, 23 juillet 2018

Opportunisme

Histoire de ne pas perdre une opportunité, la plupart des chauffeurs indiens Uber travaillent aussi pour Ola, le concurrent indien. Et c’est flagrant avec les chauffeurs moto qui se trimballent avec un casque de chaque entreprise.

Quand ton cœur balance, pas la peine de choisir !

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lundi, 16 juillet 2018

La famille Samourai au Maroc!

Pour mes vacances de cette année, je réussis un pari pas si facile : voyager hors de l’Inde et sans choc culturel. Pari réussi avec le Maroc ! Comme l’Inde des paysages incroyables, mais plus condensés, plus faciles d’accès en voiture et en trois semaines – un pays à taille plus humaine (à part dans les souks où ça grouille comme pas permis). Comme l’Inde, du thé à ne plus s’arrêter de pisser (du thé à la menthe et au sucre versus du thé au lait et aux épices et au sucre). Comme l’Inde, certaines libertés sont prises avec les règles de conduite – même si les Marocains sont, quoi qu’on en dise, des enfants de chœur au volant, comparés aux Indiens. Comme en Inde, les enfants sont appréciés et bienvenus. Comme en Inde, il faut négocier – même si mon Indien préféré a dû essuyer 2-3 arnaques avant de comprendre comment s’y prendre. Comme en Inde, les disparités sont flagrantes entre très riches et très pauvres, entre villes et campagnes. 

Après tout n’est pas pareil non plus. D’abord il n’y a pas d’Indiens. Ces derniers ne voyagent pas trop au Maroc, en tout cas pour le tourisme. Le mec du comptoir de Gulf Air à Delhi nous a demandé dans quel pays était le Maroc, les vacances démarraient bien ! Mais la réaction est assez unanime quand mon Indien préféré annonce sa nationalité : « Indian ? Ah, good people !! ». Et c’est suivi du nom d’une star Bollywood. L’engouement pour cette forme de cinéma indien est tout bonnement incroyable. Ensuite, leurs moustiques sont moins nombreux (comme les hommes) mais leurs piqures rendent fou. La taille des pastèques aussi diffère : les leurs font facilement plus de dix kilos. La bouffe est aussi moins variée et nettement moins végétarienne, et les bières exceptionnellement chères.

Nous avons eu la chance de voyager en juin, hors-saison. Des températures fantastiques, quasiment pas de pollution, pas besoin de réserver des hôtels à l’avance, de superbes infrastructures routières, du wifi partout ou presque (à mon grand désespoir). Notre petit samourai a géré les 2700 kilomètres de voiture comme un chef.

Bref, un de ces voyages mémorables où te ne reposes pas du tout (en tout cas en termes de sommeil) mais où tu déconnectes, en prends plein la vue, et te demande un peu ce que tu fabriques à Gurgaon…

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