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vendredi, 19 décembre 2008

Proverbes Indiens - Suite

Voici des proverbes indiens trouvés sur internet. Les Indiens francophones qui me lisent sont les bienvenus pour commenter. Ptêt qu’il y a des proverbes qui existent même pas, ou qu’il y a une signification qui m’a échappé !!

 

Tous viennent d’évène.fr: http://www.evene.fr/citations/mot.php?mot=proverbe-indien

 

Sur le prix des choses

 

L'or te donne la terre, la terre te donne l'or.

Si c'est cher, ô sahib, tu pleures une fois ; si c'est bon marché, tu ne cesseras de pleurer.

Si vous achetez une vache, assurez-vous que la queue est comprise dans le marché.

Trompe-moi sur le prix, ne me trompe pas sur la marchandise.

 

Sur la femme et l’homme

 

Les femmes rient quand elles peuvent et pleurent quand elles veulent.
De sa
mère on sèvre l'enfant par du riz ; de sa mère on sèvre la jeune fille par un mari.
à C’est une façon de voir les choses…

Le compagnon de la femme est l'homme, le compagnon de l'homme est le travail. à Sympa pour la femme…

Si vous enseignez à un homme, vous enseignez à une personne. Si vous enseignez à une femme, vous enseignez à toute la famille.
Une femme sans mari est un champ sans pluie.
à Ah ??

Un homme sans une femme n'est qu'un demi-homme. à Ah ouf, ça va dans les deux sens…

Tiens-toi à sept pas de l'éléphant, à dix du buffle, à vingt d'une femme et à trente d'un homme ivre.

 

Sur l’hospitalité (bien connue)

 

Celui qui a une maison n'en a qu'une, celui qui n'en a aucune en a mille.

Ce ne sont pas les pierres qui bâtissent la maison, mais les hôtes.

 

Sur l’amour

 

En amour, les mendiants et les rois sont égaux.

L’amour est comme une plante grimpante qui se dessèche et meurt si elle n’a rien à enlacer.

La pauvreté fait les voleurs comme l'amour les poètes.

lundi, 15 septembre 2008

Kamasutra

Le soir où je rencontrais Shiv, il me demanda ce que les Français connaissaient le plus de l’Inde ? Gandhi ? Le Taj Mahal ? Et moi : « non, non, le Kamasutra ». J’avais lu le matin même que le Kamasutra était plus vendu en France qu’en Inde, et l’alcool aidant… Mais c’est mortifiée que je me suis réveillée le lendemain matin : faut être folle pour parler du Kamasutra comme ça. Déjà que les filles occidentales ont des réputations de s… ici, je me suis grillée en beauté !! Le reste de la soirée me revenant en mémoire, je me suis rassurée. Ne m’a-t-il pas dit plus tard : « Tu te souviens de mon nom ? Shiv, comme Shiva, le Dieu dans le Kamasutra » !!

 

On entend souvent (pas toujours, ni dans toutes les bouches, mais souvent) en Inde « pas de sexe avant le mariage », « un mariage arrangé dure plus longtemps qu’un mariage d’amour », « le divorce est une mauvaise chose qui vient de l’Occident », « les femmes doivent servir les hommes ». Ce qui nous donne une image de frustrés. Et pourtant, pourtant. L’auteur du Kamasutra était indien, qui a défendu la femme, l’amour dans le mariage, le divorce etc. Bon, déjà qu’aujourd’hui on ne peut que parler des « multiples visages » de l’Inde, on imagine bien que depuis 1 700 ans les mentalités ont sacrément évolué. Ce qui est quand même marrant c’est que c’est toujours un ouvrage de référence dans l’Occident ! C’est d’ailleurs un peu triste qu’aujourd’hui des types bannissent les livres d’éducation sexuelle, notamment au Gujarat et dans le Maharashtra…

 

D’abord une petite précision : contrairement aux idées reçues, le Kamasutra n’est PAS un recueil de positions sexuelles. C’est un livre sur l’art de vivre – comment trouver un partenaire, maintenir le pouvoir dans le mariage, être adultère, vivre comme ou avec une courtisane, utiliser des drogues – et aussi sur les positions sexuelles.

 

Ensuite un petit historique : Il a été écrit il y a 1 700 ans en sanscrit par Vatsyayana.

Il fait partie d’une trilogie de livres sur les sciences humaines de l’Inde ancienne (indispensable pour toute bonne éducation) :

-          Kama (désir/amour/plaisir/sexe) à Kamasutra ou Kamashashtra

-          Dharma (devoir/moralité/moi/religion) à Dharmasutra ou Dharmashashtra

-          Artha (argent/pouvoir politique/succès matériel) à Arthasutra ou Arthashashtra

 

Traditionnellement, la première transmission du Kama Sutra (« discipline de Kama ») est attribuée à Nandi, le taureau sacré de Shiva, son gardien. Tandis que les bruits de l’acte d’amour entre Shiva et sa femme Parvati lui parvenait et l’émouvait, il a décidé de les transcrire pour la postérité, au profit de l’humanité. Faut dire que leurs ébats ont de quoi faire frémir les plus intrépides !

 

Il est composé de 7 livres, qui parlent de désir, amour, timidité, rejet, séduction, manipulation. Seul le livre numéro 2 traite de sexualité proprement dite : typologie sexuelle, positions sexuelles, embrasser, mordre, gifler, sexe oral et hors du commun etc. Peut-être à cause de ses illustrations (qui n’était pas originellement dans le livre), le livre 2 a complètement évincé les 6 autres dans l’imagination populaire.

1.       Introduction

2.       De l’union sexuelle (y compris 64 genres d’actes sexuels)

3.       Comment acquérir une femme : les formes de mariage, comment trouver et gérer une femme.

4.       A propos d’une femme : code de conduite si une ou plusieurs femmes.

5.       A propos de la femme des autres : comment choisir un amant, faire de l’argent etc.

6.       A propos des courtisanes

7.       Les moyens pour attirer l’autre : comment améliorer ses atouts physiques.

 

La 1ère et plus connue traduction (du Sanskrit) du Kamasutra est due à Richard Burton – avec tout le travail de préparations de 2 thésards indiens Bhagwanlal Inderjit et Shivaram Bhide. Burton a donc davantage travaillé à la publication qu’à la traduction ; ce qui ne réduit pas son mérite vu que publier le Kamasutra pendant l’ère victorienne puritaine et prodigue en lois anti-obscénité (1883) ça relevait de l’exploit ! La version officielle a été publiée en 1962 en Angleterre et aux Etats-Unis.

 

De la femme : L’impression générale demeure que le Kamasutra est patriarcal et misogyne. Or Vatsyayana a argumenté, dans des écrits aujourd’hui disparus, contre la misogynie de textes érotiques antérieurs à son ouvrage (y coHampi119_-_Virupaksha_Temple.JPGmpris les Dharmashastras). Mais bon, faut aussi remettre dans le contexte : compte tenu de l’époque, il est normal de trouver quelques éléments de ce genre dans le Kamasutra. Globalement, le Kamasutra donne quand même une place particulière à la femme – qui a un rôle entier dans l’acte sexuel, n’est pas seulement un objet érotique mais a des émotions, s’épanouit (et d’ailleurs plus elle s’épanouit, plus grand sera le plaisir de l’homme), dont il faut prendre un soin particulier quand elle est vierge. D’ailleurs, Vatsyayana recommande que les femmes étudient le Kamasutra, même avant la puberté.

Attention, Vatsyayana n’idéalise pas les femmes, il porte juste un regard aussi cynique sur les hommes que sur les femmes, sur le plan sexuel du moins.

 

Du divorce : Alors que le livre sur le Dharma condamne violemment le divorce (« la femme doit servir son mari comme son Dieu »), Vatsyayana dit qu’une femme que son mari ne satisfait pas sexuellement a le droit de le haïr et de le quitter pour un autre. Il explique d’ailleurs bien comment une femme doit s’y prendre pour se débarrasser d’un homme (…) : «  Elle fait pour lui ce qu’il ne veut pas qu’elle fasse, et refait sans cesse ce qu’il a critiqué… Elle parle de choses dont il ne sait rien… Elle ne montre pas d’ébahissement mais seulement du mépris pour les choses qu’il connaît. Elle blesse sa fierté. Elle a des liaisons avec des hommes supérieurs à lui. Elle l’ignore. Elle critique les hommes qui ont les mêmes défauts. Et elle remet à plus tard quand ils sont tous les deux seuls. Elle est énervée par les choses qu’il fait pour elle pendant l’acte sexuel. Elle ne lui offre pas sa bouche. Elle le tient éloignée d’entre ses jambes. Elle est dégoûtée par les bruits d’ongle ou de dents quand il essaye de l’embrasser. […] Elle veut seulement dormir. Quand elle voit qu’il est épuisé, elle exige du sexe. Elle rit de lui quand il ne peut pas, et ne montre pas de plaisir quand il peut. Quand elle se rend compte qu’il est excité, même en plein jour, elle se mêle à une foule. Elle déforme exprès ce qu’il dit. Etc.» Universel!

 

De l’amour dans le mariage : Vatsyayana était d’ailleurs hyper novateur: il a introduit la notion d’amour dans le sexe. Il alla même jusqu’à dire que le but ultime du mariage est de développer l’amour dans le couple et considère ainsi le mariage d’amour (encore très rare dans la société indienne contemporaine) comme une forme proéminente de mariage.

 

Et la place de l’homosexualité ? Dans le Kamasutra, l’homosexualité n’a pas le même sens qu’aujourd’hui : un homosexuel est quelqu’un qui ne peut pas ou ne veut pas se reproduire. « Sucer son masseur » n’est donc pas considérer comme un acte homosexuel.

 

De l’influence du Kamasutra aujourd’hui :

Les Occidentaux, pourtant « highly-sexualised » ont besoin de pêcher dans la littérature indienne pour leurs ouvrages consacrés au sexe. Pourquoi ? Ben d’abord parce que ce n’est pas dans la tradition de considérer le sexe comme un moyen d’atteindre la Vérité. Pour les Judéo-chrétiens par exemple, à part le Cantique de Salomon (voir texte ci-dessous) et ses quelques passages érotiques, il n’y a rien.

Ce qui est intéressant, c’est que suivant les époques, les auteurs occidentaux n’utilisent pas les mêmes éléments du Kamasutra.

Par exemple, en 1972, Alex Comfort s’inspirait surtout des positions sexuelles dans Joy of Sex. Sans doute était-ce le plus pertinent dans les années 70, alors que l’on découvrait la liberté sexuelle en Europe et aux Etats-Unis ; la pilule venait d’arriver et les couples découvraient les joies du sexe libre.

En 2008, à l’ère des traitements hormonaux, du Viagra et des thérapies sexuelles, Susan Quillian auteur de New Joy of Sex, observe qu’il y a d’autres enseignements à pêcher dans le Kama Sutra, comme : « admettre que le sexe est un apprentissage pour tous et ne doit pas être considéré comme acquis, penser que le sexe est un moyen positif et puissant d’auto-développement et d’illumination, mettre l’accent sur la pratique méditative et la conscience de soi dans la sexualité et aussi sur l’importance du plaisir pour les femmes. Aucun autre texte n’a consacré autant de lignes aux aspects les plus fins de l’art de faire l’amour, ce qu’est vraiment faire l’amour et pas seulement le sexe. »

 

Cantique de Salomon – Ancien Testament – Chapitre 1:1-1

[L'épouse exprime ici son amour pour son époux, et l'époux son amour pour son épouse.]

1:2 Qu'il me baise des baisers de sa bouche ; car tes amours sont plus agréables que le vin.

1:3 À cause de l'odeur de tes excellents parfums, ton nom est [comme] un parfum répandu : c'est pourquoi les filles t'ont aimé.

1:4 Tire-moi, et nous courrons après toi ; lorsque le Roi m'aura introduite dans ses cabinets, nous nous égayerons et nous nous réjouirons en toi ; nous célébrerons tes amours plus que le vin ; les hommes droits t'ont aimé.

1:5 Ô filles de Jérusalem, je suis brune, mais de bonne grâce ; je suis comme les tentes de Kédar, et comme les courtines de Salomon.

1:6 Ne prenez pas garde à moi, de ce que je suis brune, car le soleil m'a regardée ; les enfants de ma mère se sont mis en colère contre moi, ils m'ont mise à garder les vignes ; et je n'ai point gardé la vigne qui était à moi.

1:7 Déclare-moi, toi qu'aime mon âme, où tu pais, et où tu fais reposer [ton troupeau] sur le midi ; car pourquoi serais-je comme une femme errante vers les parcs de tes compagnons ?

1:8 Si tu ne le sais pas, ô la plus belle d'entre les femmes ! sors après les traces du troupeau, et pais tes chevrettes près des cabanes des bergers.

1:9 Ma grande amie, je te compare au plus beau couple de chevaux que j'aie aux chariots de Pharaon.

1:10 Tes joues ont bonne grâce avec les atours, et ton cou avec les colliers.

1:11 Nous te ferons des atours d'or, avec des boutons d'argent.

1:12 Tandis que le Roi a été assis à table, mon aspic a rendu son odeur.

1:13 Mon bien-aimé est avec moi comme un sachet de myrrhe ; il passera la nuit entre mes mamelles.

1:14 Mon bien-aimé m'est comme une grappe de troëne dans les vignes d'Henguédi.

1:15 Te voilà belle, ma grande amie, te voilà belle ; tes yeux sont [comme] ceux des colombes.

1:16 Te voilà beau, mon bien-aimé ; que tu es agréable ! aussi notre couche est-elle féconde.

1:17 Les poutres de nos maisons sont de cèdre, et nos soliveaux de sapin.

Sources: Article_The Rediscovery of Kamasutra_120608.pdf; Article_TOI_Kama Sutra retold_010908.pdf

jeudi, 15 mai 2008

Le sexe est le prix que les femmes paient pour se marier. Le mariage est le prix que les hommes paient pour avoir du sexe.

Citation en titre d'Allan Pease (Extrait de Pourquoi les femmes ne savent pas lire les cartes routières ) / METTEZ LE SON POUR CETTE NOTE!

 

A votre avis, pourquoi est-ce si important en Inde que les filles restent vierges jusqu’au mariage (quitte à leur couper toute vie sociale, limite les séquestrer et leur imposer un mari)? Ben ptêt pasqu’en tout Indien sommeille un Michel Fourniret… Flippant (Extrait du Monde, le 14.05.2008):

« Il reconnaît qu'il "reste un individu dangereux". Il date cette dangerosité de sa rencontre avec Annette, sa première épouse, dont il a découvert la non-virginité au soir de leurs noces en 1966. Fourniret en aurait conçu une déception dont il ne s'est jamais remis. "Dans les diverses étapes de mon parcours, tant que je n'ai pas eu la réponse à la question que je m'étais posé à mon premier mariage [la quête de la virginité], je suis devenu quelqu'un de dangereux", a-t-il indiqué. A l'en croire, si ce soir-là Michel Fourniret avait – ainsi qu'il en rêvait – défloré sa jeune épouse, son existence en eût été autre. "Je me connais suffisamment pour savoir que pour moi ça aurait été le jour et la nuit. Ça aurait tout changé", estime-t-il, sûr de lui.

Pendant son périple meurtrier, Michel Fourniret a cru "faire [l'expérience de la virginité] avec Céline Saison", tuée de ses mains en mai 2000, mais il a eu un "doute dès qu'[il] a redémarré". A ce jour et selon lui, Fourniret n'en a toujours pas terminé avec son obsession. »

521783860.jpgCe qui nous amène tout naturellement à parler sexualité indienne et surtout virginité (de la femme).

D’abord il faut savoir que si près de 63% des Indiens s’attendent à épouser des vierges, 49% ont eu des relations pré maritales avec une prostituée (comme au temps de mon grand-père en somme) et 37% ont eu une expérience homosexuelleSource : Indianpad.com citant India Today magazine 2006.

Les Indiens (enfin surtout les Indiennes) attendent donc le W-Day pour consommer. Résultat, les Indiens perdent leur virginité en moyenne à 22.9 ans ; seuls les Malaysiens les battent (23 ans) – Source : Times of India (05.07.07) – ce serait 17,5 ans pour les FrançaisSource : lci.fr (05.06.03).

Mais comment savoir si la mariée est vierge ?? Facile…

Soit on fait le test « Kukari ki Rasam » (le rituel de la cordelette) : on utilise un espèce d’écheveau pour détecter la présence de l’hymen intact. Il y a aussi le test « Paani ki Dheej » (pureté par l’eau) : la femme doit retenir son souffle sous l’eau pendant qu’une autre personne descend 100 marches ; si elle craque, elle n’est pas vierge. Et enfin le test « Agnipariksha » (le test du feu) : la mariée doit marcher sur du fer chaud sur les mains avec juste une pâte faite de feuilles et de farine pour se protéger les mains de la chaleur ; si elle se brûle les mains, elle est impure. Ils ont de l’imagination ces Indiens… Et pourquoi croyez-vous qu’ils ont inventé ses douces formes de torture qui auraient épargné bien du souci à Michel Fourniret ?? Hormis le plaisir d’une bonne raclée et d’une humiliation publique de la fille, les maris de femmes impures s’offrent un bon pactole : ils obligent les épouses à révéler (ou inventer) le nom de leurs amants (si y en a qu’un c’est pas drôle) et vont leur taxer du fric, après avoir racketté les beaux-parents pour leur avoir refilé une traînée – Source : Webster.edu Article_Expressindia_Virginity tests torment woman in Raj_151200.pdf

Alors pour éviter d’être battues, abandonnées, dévalisées ou encore tuées, que font les femmes impures – surtout les Indiennes britanniques (les coutumes indiennes s’exportent plutôt bien) ?? Facile…

Soit elles vont dans un farce-et-attrape acheter du faux sang (conseillé par des professionnels de la santé). Soit, si vraiment elles veulent pas prendre le risque de se faire choper et qu’elles ont les moyens, elles se font refaire l’hymen ! Ah bah attends… 24 réparations d’hymen au National Health Center – UK (2005/06) / La procédure à Londres coûte jusqu’à to 2,500€ - Source : BBC News : Article_BBC News_Asian Brides faking virginity_030308.pdf

Mais alors le plus « drôle » c’est que cette obsession de la virginité n’existait pas en Inde ancienne. Dans ces temps reculés, les jeunes femmes et hommes pouvaient avoir des relations « romantiques » sans craindre le scandale (voir les exemples donnés sur Lionbikash.sulekha.com/blog). Puis on a rendu les femmes obéissantes et soumises (il était temps vous me direz…) et on s’est mis à les marier jeunes pour être sûr qu’elles n’aient pas cédé à leurs irrationnelles impulsions inhérentes à leur condition de femme – Source : indian-history.suite101.com J’ai même lu que ce l’arrivée du christianisme et de l’islam auraient fortement contribué à l’implantation de cette coutume en Inde. Ca paraît pas débile.

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