Troublant
lundi, 03 décembre 2007
C’est tout frais… Je rentrais de mon déjeuner, guillerette dans ma petite jupe de printemps (ras-le-bol passager des tenues indiennes). J’ai repéré, à ma gauche, un clochard. Jusque-là, rien d’anormal. Un clochard, un vrai de vrai, un de ceux qui n’attendent plus rien de la vie, allongé sur un trottoir, sans rien demander à personne, la barbe et les cheveux longs, noirs de crasse, en haillons… Bref. Comme il tripotait sa braguette, intriguée, je l’ai regardé derrière mes lunettes noires. Il a donc fini d’ouvrir sa braguette et s’est mis à admirer, avec une joie (presque enfantine) mêlée de surprise, une splendide… érection. Et de refermer sa braguette. Et moi de passer ma route. Normal.
5 commentaires
C'est des choses qui arrivent... Ce n'est pas sale comme dirait un... Ouais, sauf que là, c'est un peu de l'exhibitionnisme quand même....
Au fait, c'est toi qui lui a fait cet effet?...
Etonnant, non ?
Comme quoi, la pudeur est un élément culturel avant tout !
Moyennant quoi, ça doit surprendre ... il faut comprendre, à part les écolières ils ne voient pas beaucoup de jupettes !!
C'est ce qu'on appelle un coup de braguette magique!
Ca fait toujours sonner fée!
Biz
ouaooo trop drole la braguette magique !!!!!
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