mardi, 24 juillet 2012
Douceeuh Franceeeuh, cher pays de mon enfanceuuuh

Ces choses qui me frappent chaque fois que je rentre, puis que j’oublie… Passées les premières minutes de déboussolement (surtout après une nuit dans l’avion), je respire. Je suis chez moi. Pas besoin d’une maison, d’un « chez-moi », juste ce sentiment d’ « appartenance », d’être au milieu de gens comme moi. Un sentiment dont il faut profiter en silence. Parce que sitôt que j’ouvre la bouche, je suis détrompée. Mon expérience d’expatriée séjournant dans ma partie fait de moi quelqu’un de différent, avec d’autres repères. Donc je me sens vite perdue quand les...